David Roy
David Roy est un représentant aux ventes et un coordonnateur de projet pour une entreprise située au centre-ville de Montréal. Cela fait 10 ans qu’il réside à Montréal, mais cette année c’est son premier été à vélo ! Il apprécie beaucoup ce mode de transport qui l’aide à relaxer.
«Biking by the Lachine canal is convenient and very relaxing. It’s a great way to slow down life in a hectic day. I enjoy riding late at night when the city sleeps. Quiet and peaceful.»
Alice Andrieu
Alice Andrieu habite Rosemont depuis 10 ans, et elle se propulse à vélo dans la métropole depuis qu'elle est toute petite. Elle emprunte presque chaque jour la piste cyclable Rachel pour faire l'aller-retour entre sa résidence et son travail. La raison principale qui la pousse à adopter le bicycle à pédales dans ses déplacements quotidien? C'est rapide et pratiquement gratuit, dit-elle.
Seul hic, «les automobilistes ne font pas toujours attention aux cyclistes, surtout la nuit et les journées de pluies».
Mohammed
Chaque fois que la météo lui permet, Mohammed choisit le Bixi pour parcourir la distance entre son domicile du Vieux-Montréal, et son travail, situé au Technopôle Angus, près des anciennes usines Angus, dans Rosemont. Pour cet ingénieur, le vélo est presque exclusivement un moyen de transport, excepté eux ou trois balades aux abords du Canal-de-Lachine par année.
«I love biking! It’s almost an exercise. When the wheather is nice, because we don’t have big summers, I think we should be outdoors as much as we can.»
Réjean Ouellet
Voici Réjean Ouellet, un sympathique cycliste rencontré sur la piste cyclable du Canal-de-Lachine, près du marché Atwater.
--
Réjean Ouellet habite L’Île Bizard, mais cela ne l’empêche pas d’utiliser sa bécane plusieurs fois par semaine pour se rendre à son lieu de travail, coin Bishop et René-Lesvesque, au centre-ville de Montréal. Cet intrépide consultant en informatique, se rend en voiture à l’extrémité ouest du Canal-de-Lachine, s’y stationne, et y troque la pédale à gaz pour la pédale à propulsion musculaire.
L’installation de douches, l’aménagement d’un local à même les bureaux pour stationner les vélos, ainsi que la disponibilité en tout temps de 4 clefs Bixi consacrer aux déplacements des consultants chez les clients, font partie des initiatives que l’employeur de Réjean a mises de l’avant pour inciter ses employés à venir au boulot en pédalant.
«Le vélo est une détente et une façon de rester proche de la nature. C'est une façon de profiter davantage de l'été, et aussi d'apprécier l’environnement qui nous entoure. Il n'y a rien de mieux, le matin, que de se déplacer en s'imprégnant de la fraîcheur matinale. Le soir, cela me permet de faire la coupure entre le travail et la maison. C'est aussi un excellent moyen de garder une bonne forme physique!»
Karim Kammah
Si vous croyez qu’il faut être téméraire pour se déplacer sur deux roues l’hiver à Montréal, attendez de rencontrer Karim Kammah, qui lui effectue tous ses déplacements qu’à une roue, été comme hiver.
Arrivé au Québec en juillet 2014, Karim n’allait certainement pas laisser l’hiver québécois changer ses habitudes de déplacement. En effet, il jure avoir toujours effectué les deux kilomètres qui séparent sa maison, près du métro Beaudry, de son travail, dans le Vieux Montréal, à dos d'unicycle. Avec la glace qui prend parfois d’assaut le réseau routier de la métropole, il admet cependant avoir rapidement dû chausser sa monture d’un pneu d'hiver clouté.
Cela fait plus de 10 ans que Karim utilise l’unicycle comme moyen transport principal; tout d'abord d'abord en se déplaçant dans les rues cahoteuses de Bordeaux, et aujourd'hui en prenant t soin d'éviter les trous qui criblent le bitume montréalais.
Pour Karim, en plus d’être un outil pratique de locomotion, l’unicycle est aussi ludique. Il adore faire du tout-terrain à flanc de montage, mais sa spécialité estsans contredit le monobasket. Comme son nom l’indique, ce sport combine le monocycle et le basket-ball. En 2012, son équipe «AOC carré» a d’ailleurs décroché la deuxième place des 15e Championnats du monde de Monobasket - UNICON 15.
Bien qu’il n’y ait pas de ligue de monobasket pour l’instant au Québec, Karim ne désespère pas et compte bien en créer une, lui qui désire maintenant s’installer définitivement dans la ville aux cent clochers.